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European Commission Spokesman's Briefing for 00-01-14
From: EUROPA, the European Commission Server at <http://europa.eu.int>
MIDDAY EXPRESS
News from the Spokesman's midday briefing
Nouvelles du rendez-vous de midi du Porte-Parole 14/01/2000b
CONTENTS / CONTENU
[01] Third quarter 1999 (revision) : euro-zone and EU15 GDP grew by 1.0%
[02] Les coûts de la main-d'oeuvre dans la zone euro ont augmenté de 2,2%
[03] Franz Fischler : "Agenda 2000 has already passed the test"
[04] Franz Fischler : "L'agricultre n'est pas une entrave à la
libéralisation"
[01] Third quarter 1999 (revision) : euro-zone and EU15 GDP grew by 1.0%
(! embargo 12am !) Euro-zone and EU15 GDP both grew by 1.0% (unchanged)
during the third quarter of 1999, according to revised estimates (see
Eurostat Newsrelease 123/99 of 10 December 1999) out today from Eurostat,
the Statistical Office of the European Communities in Luxembourg. Economic
growth accelerated compared to the second quarter 1999, when it had reached
+0.6% for both the euro-zone and EU15.
[02] Les coûts de la main-d'oeuvre dans la zone euro ont augmenté de 2,2%
(! embargo 12h !) Dans l'ensemble de l'économie, le coût total horaire de
la main-d'oeuvre de la zone euro a augmenté de 2,2%, en termes nominaux, au
cours du troisième trimestre de 1999 par rapport au même trimestre de
l'année précédente. C'est ce qu'indique aujourd'hui Eurostat, l'Office
statistique des Communautés européennes à Luxembourg. L'augmentation était
de 2,0% (chiffre révisé) au cours du deuxième trimestre de 1999. Pour
l'UE15, elle a été de 2,7%, par rapport à 2,3% (chiffre révisé) au
trimestre précédent. Parmi les pays pour lesquels des données sont
disponibles, l'Italie a enregistré le taux annuel le plus bas (0,5%),
suivie de la Suède (1,9%) ; les taux les plus élevés ont été enregistrés au
Royaume-Uni (5,0%) et au Danemark (4,0%). Dans l'industrie, les coûts
horaires de la main-d'oeuvre ont augmenté de 2,2% dans la zone euro et de 2,
4% dans l'UE15. Les plus faibles augmentations, d'après les données
disponibles, ont été enregistrées en Suède et en Italie (1,1% chacun) ainsi
qu'en Espagne (1,8%), les plus importantes au Danemark (3,6%), en Autriche
(3,5%), au Royaume-Uni (3,4%) et en Finlande (3,3%).
[03] Franz Fischler : "Agenda 2000 has already passed the test"
At the international press conference on 13 January during the 'Grüne
Woche' in Berlin Franz Fischler, European Commissioner for agriculture,
rural development and fisheries asserted that the European Union farm
sector was well prepared to face the coming challenges. "With Agenda 2000
we have done our homework. We are now well prepared for eastward
enlargement and can go into the WTO negotiations on the front foot. The
European model of agriculture, built on environmental protection, food
safety and flexibility, has definitely received a boost from Seattle.
Agricultural trade involves not only economic aspects but also
environmental and social issues", said Mr Fischler. On the subject of
enlargement to the east the Commissioner stressed the need to prepare
carefully and to ensure the necessary structural development.
[04] Franz Fischler : "L'agricultre n'est pas une entrave à la
libéralisation"
Dans son discours à l'occasion de l'inauguration de la Semaine verte
internationale de Berlin, M. Franz Fischler, commissaire européen chargé de
l'agriculture, du développement rural et de la pêche, a souligné que
l'Union européenne a agi de façon unie et constructive au cours des
négociations de l'OMC. L'agriculture, a-t-il dit, n'est pas "une entrave à
la libéralisation". "Si des progrès similaires avaient été accomplis dans
d'autres secteurs, il aurait été possible de parvenir à un accord", a-t-il
insisté. "Les négociations agricoles vont s'ouvrir d'une façon ou d'une
autre, mais en reprenant par le début et sans calendrier fixe", a déclaré
le commissaire. La réponse de M. Fischler à la question de savoir si les
pays candidats à l'adhésion à l'UE pourraient bénéficier d'aides directes
de la politique agricole commune (PAC) est nuancée : "Il est à craindre que
les aides directes incitent à ralentir les réformes structurelles qui sont
urgentes et nécessaires. Ce serait contreproductif et le système social et
économique serait ébranlé si un agriculteur polonais gagnait soudain le
double d'un ouvrier polonais de l'industrie. Il ne s'agit pas d'empêcher
durablement les nouveaux Etats membres de l'UE de bénéficier de ces
versements. Il s'agit plutôt de ménager des périodes de transition pendant
lesquelles les aides à la restructuration et les programmes de
développement rural seraient renforcés", a souligné M. Fischler.
MIDDAY EXPRESS
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